Annuaire des pharmacies

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Somme
Hauts de France
France

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Description: Cette entreprise n’a pas encore complété sa présentation. Elle sera probablement effectuée prochainement.

Publications
  • Changement à la tête de l'ARS des Hauts de France
    Actualité

    Monique Ricomes, la Directrice générale de cet organisme aussi nécessaire que parfois redouté, quitte ses fonctions à la fin du mois de mars, soit deux ans et demi après avoir été nommée. 

    Ce poste de haut fonctionnaire a été récemment interpellé par Xavier Bertrand, Président de la nouvelle région des Hauts de France, qui lui reprochait notamment une certaine forme d'impuissance en se demandant " s'il était possible de travailler avec l'ARS dans sa région ".

    L'ARS est notamment omni-puissante dans la délivrance des autorisations d'exploitation des sites e-commerce pour Pharmacie en ligne, Mais sa mission générale est évidemment extrêmement large et couvre tous les aspects sanitaires d'un territoire.

    Un successeur qui n'est pas encore connu à l'heure actuelle devrait être nommé très prochainement.

    Monique Ricomes, la Directrice générale de cet organisme aussi nécessaire que parfois redouté, quitte ses fonctions à la fin du mois de mars, soit deux ans et demi après avoir été nommée. 

    Ce poste de haut fonctionnaire a été récemment interpellé par Xavier Bertrand, Président de la nouvelle région des Hauts de France, qui lui reprochait notamment une certaine forme d'impuissance en se demandant " s'il était possible de travailler avec l'ARS dans sa région ".

    L'ARS est notamment omni-puissante dans la délivrance des autorisations d'exploitation des sites e-commerce pour Pharmacie en ligne, Mais sa mission générale est évidemment extrêmement large et couvre tous les aspects sanitaires d'un territoire.

    Un successeur qui n'est pas encore connu à l'heure actuelle devrait être nommé très prochainement.

    Publié le 14/03/2019
  • Information ou pub ? L'ARS prend position !
    Actualité

    La mention du nom d’une autre pharmacie sur le site d’une officine pourrait être assimilée à une publicité pour cette pharmacie ce qui est interdit par l’article R5125-29 du Code de la santé publique (CSP).

    « Un groupement ou un réseau constitué entre pharmacies ne peut faire de la publicité en faveur des officines qui le constituent.
    Aucune publicité ne peut être faite auprès du public pour un groupement ou un réseau constitué entre officines. »

    De plus, cette situation pourrait être également identifiée comme de la concurrence déloyale et une atteinte au libre choix de son pharmacien par le patient, puisque le patient est incité à se fournir auprès de certaines autres pharmacies identifiées sur son site, ce qui est contraire aux dispositions de l’article R4235-21 du CSP «Il est interdit aux pharmaciens de porter atteinte au libre choix du pharmacien par la clientèle. Ils doivent s'abstenir de tout acte de concurrence déloyale. »

    Source ARS Ile de France (novembre 2018)

    La mention du nom d’une autre pharmacie sur le site d’une officine pourrait être assimilée à une publicité pour cette pharmacie ce qui est interdit par l’article R5125-29 du Code de la santé publique (CSP).

    « Un groupement ou un réseau constitué entre pharmacies ne peut faire de la publicité en faveur des officines qui le constituent.
    Aucune publicité ne peut être faite auprès du public pour un groupement ou un réseau constitué entre officines. »

    De plus, cette situation pourrait être également identifiée comme de la concurrence déloyale et une atteinte au libre choix de son pharmacien par le patient, puisque le patient est incité à se fournir auprès de certaines autres pharmacies identifiées sur son site, ce qui est contraire aux dispositions de l’article R4235-21 du CSP «Il est interdit aux pharmaciens de porter atteinte au libre choix du pharmacien par la clientèle. Ils doivent s'abstenir de tout acte de concurrence déloyale. »

    Source ARS Ile de France (novembre 2018)

    Publié le 13/03/2019
  • La vente en ligne pourrait être l'avenir de la Pharmacie
    Actualité

    Sus aux " angles morts" qui limitent le pouvoir d'achat et grèvent le budget des ménages !

    Le gouvernement, par la voix du premier Ministre Gérard Philippe, tire les leçons de la crise des Gilets Jaunes et réfléchit à de nouvelles mesures qui pourraient bien impacter, avec ou sans leur consentement, les pharmacies françaises.

    La levée de certaines contraintes qui pèsent sur la vente en ligne de médicaments semble en bonne voie malgré des réactions mitigées de la profession, de leurs syndicats et des différents acteurs de ce milieu qui n'en demandait pas tant.

    Le principe retenu semble bien de libéraliser des secteurs professionnels afin de rendre du pouvoir d'achat aux Français. D'autres secteurs s'y trouvent déjà confrontés : les syndics, les auto-écoles ou les pièces détachées pour l'automobile.

    Le 5 mars dernier, le Premier ministre, Édouard Philippe, a annoncé deux mesures qui pourraient bien bouleverser les habitudes bien ancrées des officines.

    1) la possibilité de voir apparaître des regroupements de pharmacies, en vue de faciliter la vente en ligne.

    2) l'autorisation d'entrepôts déportés pour le stockage et l'expédition de médicaments

    Ce sont effectivement deux mesures fortes en faveur des pharmacies en ligne qui subissent de plein fouet la concurrence de sites étrangers (Belges ou Néerlandais) déjà parfaitement structurés et qui se soucient peu des frontières.

    L'objectif (inavoué) est de voir se profiler une baisse des prix du médicament non remboursable tout en dynamisant le secteur par une hausse des ventes.

    En France, la pharmacie en ligne ne représente que 1 % de parts de marché, contre 15 % en Allemagne », faut-il le rappeler ?

    La profession est désormais suspendue à la sortie d'un rapport très attendu de l’Autorité de la concurrence dans les prochaines semaines, rapport sans concession sur le fonctionnement concurrentiel dans le secteur du médicament.

    Il est désormais impératif que les Pharmacies françaises prennent en compte l'évolution du comportement d'achat des patients et réfléchissent à la digitalisation des officines, quitte à se regrouper pour faire face aux investissements nécessaires.

    Le monopole pharmaceutique ne semblant pas être remis en question malgré le souhait émis par l'autorité de la concurrence, l'effet d'opportunité est clairement à saisir dans le camp des Pharmaciens.

    La politique de la chaise vide n'a pour l'instant laissé la place qu'à la création d'acteurs surpuissants (Amazon, Carrefour, Leclerc, Pharmarket, NewPharma...) qui ne feront pas marche arrière et qu'il est encore temps de contrer en occupant le terrain de la proximité, de la confiance et du conseil en utilisant les moyens que permettent la digitalisation des services et de la vente en ligne. 

    Par exemple, l'enseigne Newpharma basée en Belgique est déjà partie sans complexe à la conquête des marchés français, et suisses avec les extensions «.fr » et «.ch »

    Alors chiche, le grand réveil ?

    Sus aux " angles morts" qui limitent le pouvoir d'achat et grèvent le budget des ménages !

    Le gouvernement, par la voix du premier Ministre Gérard Philippe, tire les leçons de la crise des Gilets Jaunes et réfléchit à de nouvelles mesures qui pourraient bien impacter, avec ou sans leur consentement, les pharmacies françaises.

    La levée de certaines contraintes qui pèsent sur la vente en ligne de médicaments semble en bonne voie malgré des réactions mitigées de la profession, de leurs syndicats et des différents acteurs de ce milieu qui n'en demandait pas tant.

    Le principe retenu semble bien de libéraliser des secteurs professionnels afin de rendre du pouvoir d'achat aux Français. D'autres secteurs s'y trouvent déjà confrontés : les syndics, les auto-écoles ou les pièces détachées pour l'automobile.

    Le 5 mars dernier, le Premier ministre, Édouard Philippe, a annoncé deux mesures qui pourraient bien bouleverser les habitudes bien ancrées des officines.

    1) la possibilité de voir apparaître des regroupements de pharmacies, en vue de faciliter la vente en ligne.

    2) l'autorisation d'entrepôts déportés pour le stockage et l'expédition de médicaments

    Ce sont effectivement deux mesures fortes en faveur des pharmacies en ligne qui subissent de plein fouet la concurrence de sites étrangers (Belges ou Néerlandais) déjà parfaitement structurés et qui se soucient peu des frontières.

    L'objectif (inavoué) est de voir se profiler une baisse des prix du médicament non remboursable tout en dynamisant le secteur par une hausse des ventes.

    En France, la pharmacie en ligne ne représente que 1 % de parts de marché, contre 15 % en Allemagne », faut-il le rappeler ?

    La profession est désormais suspendue à la sortie d'un rapport très attendu de l’Autorité de la concurrence dans les prochaines semaines, rapport sans concession sur le fonctionnement concurrentiel dans le secteur du médicament.

    Il est désormais impératif que les Pharmacies françaises prennent en compte l'évolution du comportement d'achat des patients et réfléchissent à la digitalisation des officines, quitte à se regrouper pour faire face aux investissements nécessaires.

    Le monopole pharmaceutique ne semblant pas être remis en question malgré le souhait émis par l'autorité de la concurrence, l'effet d'opportunité est clairement à saisir dans le camp des Pharmaciens.

    La politique de la chaise vide n'a pour l'instant laissé la place qu'à la création d'acteurs surpuissants (Amazon, Carrefour, Leclerc, Pharmarket, NewPharma...) qui ne feront pas marche arrière et qu'il est encore temps de contrer en occupant le terrain de la proximité, de la confiance et du conseil en utilisant les moyens que permettent la digitalisation des services et de la vente en ligne. 

    Par exemple, l'enseigne Newpharma basée en Belgique est déjà partie sans complexe à la conquête des marchés français, et suisses avec les extensions «.fr » et «.ch »

    Alors chiche, le grand réveil ?

    Publié le 12/03/2019
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