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La start-up Ordoclic a présenté à PharmagoraPlus l’une des toutes premières solutions d’ordonnance électronique disponibles sur le marché, alors que l’on est toujours en attente d’un encadrement légal sur le sujet.
Ordoclic a imaginé une solution simple d’usage pour tous les protagonistes, un enjeu complexe à la base puisque les médecins et les pharmaciens ont des pratiques très différentes.
Elle s’installe chez le médecin et fonctionne comme une imprimante virtuelle et via un process digital qui intègre toutes les démarches nécessaires (authentification du médecin via la carte CPS notamment), elle certifie également la signature de l’ordonnance.
Le patient dispose d’un PDF et aussi d’un QR Code, lequel permet au pharmacien de récupérer l’ordonnance qui peut aussi y accéder via son navigateur Internet.
Une messagerie a également été conçue par Ordoclic pour permettre aux médecins et aux pharmaciens de communiquer.
La phase de tests est achevée (200 pharmaciens et 200 prescripteurs ont généré 15 000 ordonnances en six mois) et le produit est disponible ce printemps.
Le plus de la solution : elle combine la simplicité inhérente à la réussite de la démarche de dématérialisation de l’ordonnance tout en en assurant la sécurité.
Nom du prestataire : Ordoclic
Prix : Gratuit.
Source : Le Quotidien du Pharmacien n°3517
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C’est une nouvelle tendance du e-commerce. Les réseaux sociaux deviennent également des boutiques en ligne. Mais rassurons les e-pharmaciens déjà présents sur le Web. L’utilisation de ce nouveau tunnel de vente à l’avenir prometteur leur est aussi possible.
Les modes d’utilisation du Web par les internautes sont en pleine évolution, avec l’apparition de nouveaux comportements. Les réseaux sociaux sont ainsi devenus des outils de communication et de création de communautés pour les marques et les e-commerçants. Le processus d’achat en ligne suit cette évolution en permettant aujourd’hui aux « followers » de ces comptes de pouvoir réaliser des achats directement sur Facebook, Instagram, Snapchat ou encore Pinterest pour les plus connus. Tel est l'un des enseignements de l'événement PrestaShopConnect qui se tenait à Lyon le mois dernier.
Il y a quelque temps, ce mode de vente obligeait à réorienter le client vers la boutique en ligne traditionnelle pour pouvoir réaliser un achat. Un processus qui connaissait des taux d’abandons importants. Il existe, en effet, une équation simple dans l’e-commerce. Plus vous multipliez le nombre de clics, moins vous avez de clients qui vont au bout du processus d’achat.
Un bouton « acheter ce produit »
Partant de ce constat, des acteurs du secteur impliqués dans la sécurisation des paiements en ligne ont proposé des évolutions majeures. La plus importante est de pouvoir offrir une intégration totale du processus de vente sur un réseau social. Concrètement, l’internaute ne quitte pas la plateforme pour réaliser son achat. L'objectif, qui fait office d'exploit, est de pouvoir conclure un acte d’achat en seulement trois clics. Une stratégie que pourraient tenter les pharmacies actives sur les réseaux sociaux… Les e-pharmacies autorisées en France à vendre des médicaments en ligne peuvent intégrer cette nouvelle évolution dans leur stratégie virale.
À moins d’être à l’aise avec la programmation, ou de recourir aux services d’un développeur, les titulaires intéressés peuvent utiliser certains outils disponibles. Une fois l’intégration réalisée, ce nouveau processus de vente peut aider à booster une activité en ligne tout en surfant sur une tendance très actuelle. Concrètement, une pharmacie qui poste sur Facebook plusieurs messages à propos d’une gamme de parapharmacie pourrait tout à fait intégrer un bouton « acheter ce produit » sur le support. Le taux de transformation serait augmenté, car il se trouve dans la continuité du message promotionnel.
Des pré-requis indispensables
Pour arriver à vendre des médicaments ou de la parapharmacie sur les réseaux sociaux, l'e-pharmacien doit au préalable avoir une stratégie Web bien établie. Après avoir obtenu le sésame de son agence régionale de santé, le pharmacien met en ligne son site et établit sa stratégie sur les réseaux sociaux. Il est conseillé de limiter la visibilité de la e-pharmacie sur un nombre restreint de plateformes (une ou deux maximum) afin de concentrer sa communication virale. La constitution d’une communauté, qui suit les événements postés par la pharmacie, est l’objectif de cette présence sur un réseau social.
Les statistiques observées permettent ensuite au e-pharmacien de caractériser son audience. Ce point est particulièrement important pour proposer du contenu et des produits associés correspondant aux besoins de sa communauté. Un levier important du développement des e-pharmacies passera très probablement par la pratique des achats intégrés dans les réseaux sociaux. Nul doute que cette tendance actuelle s'invitera très vite dans le monde de la santé en général, et de la pharmacie en particulier. Offrir cette nouvelle expérience « technico-commerciale » à l'audience des cyberpharmacies pourrait être une option à suivre pour développer leur activité.
Une solution de paiement intégrée aux réseaux sociaux
Durant le premier PrestaShopConnect de Lyon, un atelier a particulièrement retenu l'attention des visiteurs. Cette session, intitulée « Booster vos ventes sur les réseaux sociaux » et animée par l’équipe de Payplug, avait de quoi susciter la curiosité des professionnels de la vente en ligne présents. Payplug, outil de paiement sécurisé en ligne, est en effet compatible avec la plupart des plateformes Web. Par son truchement, le e-commerçant peut proposer sur un réseau social un processus de vente en ligne totalement intégré.
R. L.
Source : Le Quotidien du Pharmacien n°3516
Désireux de favoriser la vente en ligne de médicament pour faire baisser les prix, le gouvernement a reçu le 16 avril les représentants de la profession.
Le Premier ministre l’avait annoncé le 5 mars dernier, les règles de la vente en ligne de médicament doivent être assouplies afin d’accroître la concurrence entre les pharmacies, et par conséquent d’infléchir les prix (voir article « abonné »). Les syndicats, les représentants de l’Ordre et des étudiants ont été reçus mardi 16 avril au ministère de la Santé pour débattre de ces modifications substantielles au Code de la santé publique.
Un premier assouplissement devrait intervenir dans les modalités d’autorisation des sites de vente en ligne qui sera transformée en déclaration formelle par le pharmacien. Des contrôles de l’agence régionale de santé (ARS) pourront être effectués a posteriori sur la conformité du site et le respect des bonnes pratiques. Si les représentants de la profession ont approuvé cette avancée, ils se sont prononcés à l’unanimité contre l’autorisation des locaux déportés. Une proposition du gouvernement qui consiste à pratiquer l’expédition des produits à partir de hangars, distincts de la pharmacie physique, pourvu qu’ils soient implantés dans le même département.
Le Premier ministre a aussi évoqué les plateformes, pour permettre aux pharmaciens de se regrouper et mutualiser leur activité de vente sur Internet. Mais Gilles Bonnefond, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) est implacable : « Oui à la mutualisation en ce qui concerne la gestion du portail en lui-même, mais il ne faut pas aller plus loin. Le portail ne doit pas déboucher sur une plateforme qui mettrait en place une logistique spécifique à Internet. » « Attention de ne pas prendre en otage, dans ce système, les petites officines qui auront des distorsions entre les prix pratiqués dans le point de vente physique et ceux affichés sur le site », met-il en garde.
Pour parer à toutes dérives, Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France, a fait une contreproposition au gouvernement. « Elle consiste à reconstituer toute la chaîne de distribution du médicament de manière virtuelle », expose-t-il. Ce dispositif confierait aux grossistes-répartiteurs et aux groupements la mise à disposition sur le site des produits mutualisés. Le pharmacien resterait maître de ses achats, de ses ventes, de sa facturation et du dernier kilomètre, dans la livraison des produits.
Source : Lequotidiendupharmacien.fr/Marie Bonte
Le distributeur de médicaments et pharmacien en ligne Zur Rose a vu son chiffre d'affaires bondir de 28,1% au 1er trimestre, à 381,1 millions de francs suisses. La croissance a été particulièrement forte en Allemagne (46%), marché sur lequel l'entreprise a acquis, notamment, la pharmacie en ligne Medpex.
"La croissance s'est poursuivie conformément aux prévisions", se félicite Zur Rose mercredi dans un communiqué. Les chiffres publiés se situent dans la fourchette haute des attentes des analystes consultés par AWP. qui anticipaient des ventes entre 344 et 388 millions, grâce en particulier aux 213 millions d'euros (environ 245 millions de francs suisses) de recettes réalisées en Allemagne.
Les médicaments sans ordonnance ont constitué le principal moteur de croissance (+21%). Sur le marché helvétique, la hausse des ventes a été plus modeste: 3,6% à 132 millions, un résultat qui s'explique en partie par les baisse de prix imposées. Malgré tout, Zur Rose parle d'un "développement positif", eu égard à l'afflux dans la clientèle médecins.
Sur les autres marchés européens, le groupe a enregistré des ventes de 7,1 millions d'euros (+40%).
Le groupe maintient ses objectifs pour 2019, à savoir un chiffre d'affaires de 1,6 milliard de francs suisses. Cela correspondrait à une hausse de 30% par rapport à 2018.
Source : ZoneBourse
Portées davantage par les départs à la retraite que par les cessions et réinstallations, les ventes d’officines en 2018 dénotent un regain d’optimisme dans la profession, selon les dernières statistiques publiées par Interfimo.
Pour la quatrième année consécutive, le prix de vente moyen des ’officines s’affiche à environ 6 fois l’EBE (6,1 en 2018). C'est donc sur un marché mature que la nouvelle génération prend pied. Et la transition démographique est le principal moteur du marché des cessions. « La reprise des ventes d'officines en 2018 est en effet à rapprocher du nombre record de départs à la retraite enregistré par la Caisse d’assurance vieillesse des pharmaciens (CAVP) : plus de 1 620 en 2018, soit 20 % de plus qu'en 2017 », analyse Jérôme Capon, directeur du réseau Interfimo, lors de la présentation de la 25e étude « Prix et valeurs des pharmacies »*.
Résultat, la société de financement a enregistré 1 580 mutations en 2018, soit 5 % de plus qu’en 2017, année qui avait elle-même bénéficié d’un rebond de 9 %. C’est dire si le marché s’anime autour d’une officine qui, paradoxalement, ne brille pas par la performance de ses indicateurs économiques. La légère hausse du chiffre d’affaires ne parvient pas à relever la marge brute globale. Tandis que, dans un contexte d’inflation et de hausse des salaires, l’EBE suit la même inflexion.
Interfimo indique cependant que, sur les dix dernières années, la situation des titulaires parvient à se stabiliser. La rémunération nette moyenne du titulaire se situe à 66 000 euros par an (67 000 euros en 2017), 60 % des rémunérations sont comprises entre 36 000 et 84 000 euros. Une stabilité financière confirmée par les données de la Banque de France qui révèlent que 60 % des officines bénéficient aujourd’hui d’une cotation positive, contre 53 % il y a encore dix ans.
Cette embellie ne doit pas faire oublier un paysage officinal en clair-obscur. Les disparités se creusent sur un marché où la taille de l’officine et sa localisation sont des facteurs déterminants pour la fixation des prix. Ainsi, alors que les officines d’un chiffre d’affaires inférieur à 1,5 million d’euros sont valorisées bien en deçà de la moyenne nationale, 20 % des transactions de 2018 concernaient des officines valorisées à un prix égal ou supérieur à 7,5 x l’EBE. Cette dispersion inquiétante du marché dessine une carte hexagonale contrastée entre les pharmacies du Grand Est valorisées en moyenne à 7,3 x l’EBE et leurs homologues bretonnes cédées en moyenne à 5,5 x l’EBE.
Source : Lequotidiendupharmacien.fr/Marie Bonte
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L’évolution du métier de Pharmacien est une réalité quotidienne qui ne peut échapper aux titulaires des petites comme des grandes pharmacies.
Dans un contexte de concurrence parfois exacerbée, le pharmacien d’officine peine parfois à faire face aux enjeux de la profession.
Les choix pour assurer l’avenir sont difficiles et la mutualisation de certains aspects de fonctionnement peut être une solution.
Achats, gestion, communication, merchandising, formation ou expériences partagées sont autant de sujets qui peuvent motiver un pharmacien à adhérer à un groupement de Pharmacies.
L’adhésion à un groupement engage lourdement et durablement une officine, celle-ci doit être murement réfléchie.
Un divorce reste possible avec des conséquences parfois lourdes, notamment en matière d’enseigne, de communication et, plus récemment, de stratégie digitale et d’internet.
Ce qui a été engagé et créé avec le groupement peut parfois disparaitre en cas de séparation.
S’il peut s’agir d’une solution appropriée pour aider dans la gestion et le développement d’une officine, il n’en reste pas moins que les aspects contractuels sur « l’après-groupement » sont à aborder avec une parfaite compréhension des engagements réciproques.
S'entourer de conseils et débrieffer les expériences de ses confrères avant de s'engager reste certainement la meilleure des options.
Il est possible de consulter la liste des groupements de pharmacies en suivant sur le lien ci-dessous :
Le congrès de la Fédération française des maisons et pôles de santé (FFMPS) s'est tenu la semaine dernière à Dijon sur le thème « Pluripro : découvrir et se découvrir en équipe ». Un programme dense pour les 1 200 congressistes : une vingtaine d'ateliers, quatre séances plénières, deux tables rondes. L'un des ateliers, animé par le Dr Étienne Deslandes, médecin généraliste dans le Puy-de-Dôme, a retenu l'attention de la rédaction du « Généraliste ». Le sujet : « Soins non programmés : jusqu'où aller dans le partage de compétences ».
Huit groupes ont été constitués pour travailler spécifiquement sur une problématique santé. Ainsi la lombalgie aiguë pourrait être prise en charge par le kinésithérapeute ou l'ostéopathe, l'ongle incarné par le podologue, l'infection urinaire par l'infirmier, le pharmacien, la sage-femme et le laboratoire d'analyses médicales. Le groupe de travail dédié à cette dernière pathologie imagine « un examen clinique standardisé et rapide avec prise de tension, prise de température et contact lombaire » afin d'écarter le risque de pyélonéphrite. Il évoque également l'utilisation du DMP pour éviter toute interaction médicamenteuse et être en capacité de repérer une cystite à répétition en cas de nomadisme médical.
En séance plénière, Brigitte Bouzige, première vice-présidente de la FFMPS et titulaire dans le Gard, n'a pas manqué d'évoquer la place du pharmacien dans la coordination des soins et envisage un jour « la création d'un pharmacien de pratiques avancées » dont il faudra « définir les nouvelles compétences », à l'image des infirmiers de pratiques avancées.
Source : Le Quotidien du Pharmacien n°3510
La société Cashmag, fabricant français de monnayeurs (ces machines qui rendent la monnaie dans les commerces de proximité), se positionne sur le marché des officines depuis plus de deux ans.
Il propose notamment le monnayeur série F1, qui se caractérise par son intégration facile dans les comptoirs sans dénaturer leur esthétique, affirme la société, un produit donc adapté notamment aux pharmacies qui n’ont pas de beaucoup d’espace.
Ce monnayeur dispose d’un module pièces (avec une capacité de stockage de 4 000 pièces) avec un rendu de monnaie très rapide, en 4 secondes, et d’un module billets. Cashmag propose aussi un modèle plus grand, le monnayeur Série 5R. Les deux modèles peuvent communiquer avec les LGO, grâce à une astuce technique qui permet de ne pas avoir besoin de développement spécifique pour une meilleure intégration, même si celle-ci est de fait préférable, affirme-t-on au sein de la société.
Le plus de la solution : Ce sont des monnayeurs très sécurisés disposant de systèmes anti-forcing, de 4 serrures pour le Série F1, de 5 serrures pour le Série 5R. Les deux appareils bénéficient également d’un système de contrôle de fausses pièces et faux billets.
Prix : entre 10 000 et 20 000 € selon les modèles et les configurations
Nom du prestataire : Cashmag
Téléphone : 04 94 28 50 50
E-mail : contact@cashmag.fr
Source : Le Quotidien du Pharmacien
Environ 4,9 milliards de brosses à dents en plastique se retrouvent dans les océans et dépotoirs chaque année.
Ce constat a contribué à former une île de plastique de près de 1 million de kilomètres carrés dans le Pacifique.
Partant de ce fait marquant, la jeune entreprise française EkoBamboo s'est fixé comme objectif de contribuer à préserver notre environnement par des gestes simples. Le bambou est en effet réputé pour être naturellement antimicrobien.
Pour un rendu optimal, les professionnels de santé bucco-dentaire recommandent un brossage après chaque repas ainsi qu'un renouvellement de brosse à dents tous les 3 mois.
Aussi, nous avons fait le choix de sélectionner pour vous des brosses à dents à poil souple qui ne sont pas abrasives pour l'émail dentaire et les gencives.
Sur les gammes TAAJ, Ialugen, Dermatoline, Cosmetic, Algotherm !
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Jusqu'à épuisement des stocks
Le salon Pharmagora+ s'est terminé ce dimanche soir.
Cette édition est la toute première à avoir vu la présence ostensible et remarquée d'un stand Amazon.
Celle-ci n'est pas passée inaperçue et a provoqué de nombreux échanges indignés, voire haineux, sur les réseaux sociaux. Certains allant jusqu'à demander une réaction forte de l'ordre des Pharmaciens, avec par exemple la possibilité de boycotter le salon l'année prochaine.
Avec cette initiative Closer Still, l'organisateur Anglais, a pris le risque de mettre la profession au pied du mur sur une évidence que plus personne ne peut désormais ignorer : le chiffre d'affaires des officines intéresse plus que jamais la multinationale de la vente en ligne.
Cependant, comment expliquer la fréquentation plutôt soutenue du stand Amazon, car de nombreux Pharmaciens s'y sont succédés.
Pour les Pharmaciens qui seraient tentés de succomber aux sirènes de la place de marché, une commission de 15% HT sur le chiffre d'affaires TTC réalisé est évoquée. De quoi faire réfléchir...
Le retard de la profession, pour ne pas parler de la résistance, dans la digitalisation des pharmacies et de leurs services a hélas laissé la place libre à l'émergence de plateformes internet très performantes, pour certaines installées à l'étranger. Même s'il est toujours temps de réagir, la prise de conscience est douloureuse.
Aucun métier ne peut plus nier durablement l'évolution du comportement des clients, des patients et des modes de consommation qui dictent à eux seuls l'impérieuse nécessité d'accepter de "bouger les curseurs". Les professionnels de la santé, plus que les autres, sont en première ligne, car les enjeux sont énormes.
Le salon PharmagoraPlus 2019 ouvrira ses portes demain. Au programme de la manifestation, 400 stands à visiter et plus de 70 conférences et ateliers. Le « Quotidien » vous y accueille stand J75.
La 34e édition du salon PharmagoraPlus se tiendra ce week-end à Paris-Expo, porte de Versailles. Toute l'équipe du « Quotidien du pharmacien » sera présente durant les deux jours du salon. Sur son stand J75, vous pourrez venir échanger avec la rédaction et accéder aux offres « spécial salon ». L'événement vous propose de découvrir l'ensemble des innovations 2019 en matière d'équipements et de produits dédiés à l'officine. Vous pourrez également élaborer votre « menu » au sein du vaste programme de conférences et d'ateliers prévus. Parmi ces rendez-vous, ne manquez pas les deux table-rondes organisées par le « Quotidien » et qui se dérouleront dans la salle Forum de la profession :
Samedi 30 mars à 14 heures : « L'An 2 de la convention, moteur de la réforme », animée par Jacques Gravier, directeur de la rédaction du « Quotidien ». Intervenants : Gilles Bonnefond, président de l'Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO), Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) et Annelore Coury, directrice déléguée à la gestion et l’organisation des soins, Caisse nationale d’assurance-maladie (CNAM).
Dimanche 31 mars à 16 heures : « Un tiers de l'économie de l'officine : génériques et biosimilaires, stop ou encore ? », animée par Didier Doukhan, rédacteur en chef du « Quotidien ». Intervenants : Romain Lecointre, pharmacien hospitalier, auteur du livre « Les médicaments biosimilaires sont-ils les nouveaux génériques ? », clinique du Parc à Lyon, Laurent Filoche, président de l'Union des groupements de pharmaciens d’officine (UGDPO), Christian Grenier, président de Fédergy, Jean Loaëc, représentant du GEMME, Denis Millet, président de la commission économie à la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) et Gilles Bonnefond, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO).
- S'inscrire.
- Le programme des conférences du samedi 30 mars.
- Le programme des conférences du dimanche 31 mars.
Source : Lequotidiendupharmacien.fr
Le plus important salon destiné à la Pharmacie ouvre ses portes de 9h00 à 18h00 ce week-end à Paris au parc des expositions.
En 2018, PharmagoraPlus a rassemblée plus de 13 021 visiteurs et plus de 400 exposants et ce, pendant deux jours de salon. Ce chiffre s’explique par la présence de grands noms de la profession et par le dynamisme des exposants qui rivalisent d'innovations.
Le Pharmacien d'officine y trouvera quantité d'opportunités pour doper la croissance de son officine, mais également le niveau de prise en charge de ses patients.
Machouyou favorise le sevrage et améliore la mastication des enfants de 2 à 6 ans. Machouyou est une invention Française, fabriquée en France.
Pour reprendre une formule explicite et sans ambiguïté, l'emploi dans les pharmacies est bien un secteur sous tension !
Rarement les demandes, comme les offres, auront eu autant de difficultés pour trouver la réponse souhaitée par l'officine. Pourtant, avec la banalisation des sites destinés à répondre à cette mise en relation du demandeur et de celui qui cherche, on pourrait croire la problématique en voie d'amélioration, il n'en est rien.
Aux côtés des grands acteurs traditionnels que sont Pôle-Emploi, Indeed, Adecco et beaucoup d'autres sans spécialisation particulière, les quotidiens spécialisés comme le Moniteurs des Pharmacies ou le Quotidien du Pharmacien se sont positionnés de longue date sur ce sujet.
Plus récemment, des pure players se sont immiscés sur ce marché, fragmentant un peu plus la simplicité des relations, sauf pour ceux qui sauront en tirer partie.
Vous trouverez ci-après une liste non exhaustive des acteurs de l'offre d'emploi en officine :
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Destiné aux pharmaciens et aux médecins, le site gratuit www.Alerte-Pro-Sante.fr a pour unique vocation de faciliter le signalement de ces actes délictueux par les professionnels de santé et de les partager instantanément et automatiquement avec les pharmaciens d’officine ou les structures médicales de tout type qui se seront inscrits. Le site Alerte-Pro-Santé.fr est édité par la société 161 en partenariat avec le Quotidien du Pharmacien.
En France, la fraude aux prestations de santé est en constante augmentation et peu de moyens efficaces existent pour lutter contre…
On recense différents types d’incidents :
– Le vol ou la perte d’objets professionnels : feuilles de soins ou d’ordonnanciers, tampons, cartes professionnelles …
– La falsification de documents : faux certificats, fausses prescriptions, feuilles de soins maquillées …
Les vols d’ordonnanciers, de cachets professionnels, de cartes professionnelles ou de documents de correspondance se multiplient et permettent des abus de tout type visant à se procurer illégalement des prestations de santé, des remboursements indus, mais également des produits stupéfiants, des psychotropes ou produits dopants comme les anabolisants et les hormones de croissance.
Ils peuvent également participer à bien d’autres actes délictueux et répréhensibles…
Les Pharmaciens qui ont utilisé les sites plateformes 1001 Pharma et Doctissimo pour vendre et communiquer sur internet peuvent se ronger les ongles.
Coup sur coup, ces deux acteurs historiques de la vente en ligne se sont vendus récemment corps et âme à des sites de vente en ligne étrangers dont l'ambition affichée est de dévorer le marché français.
Pharmasimple basée en Belgique a racheté 1001 Pharmacies et le groupe Zur Rose basé en Suisse a jeté son dévolu sur Doctissimo. Des concurrents qui pourraient devenir cauchemardesques pour la profession et pour cause...
Il est probable que les fichiers des clients /patients inscrits sur ces plateformes initialement "rassurantes" et "sans engagements" aient pesé lourd dans l'intérêt qui leur était porté.
Peut-être l'occasion de prendre conscience que de confier toutes ses données (dont les adresses mail de ses clients) à une société tierce, c'est prendre le risque de les voir utiliser un jour sans son consentement contre ses propres intérêts.
En effet, de quelles garanties le Pharmacien Français dispose-t-il pour que ce ne soit pas le cas ?
Il serait temps que la profession s'empare énergiquement de la digitalisation en cours des officines et arrête de pratiquer la politique de la chaise vide.
Aujourd'hui moins de 5% des pharmacies françaises disposent de leur propre site internet pour vendre et proposer leurs services en ligne (dont de nombreuses toujours sur des sites plateforme) contre près de 15 % en Allemagne.
Alors à quand le vrai réveil ?
Des éditeurs Français de qualité existent pour répondre à toutes les attentes de cette problématique, les consulter n'engage à rien :
www.apotekisto.fr - mesoigner - iTek pharma
L'autorité de la concurrence rendra prochainement un avis susceptible de faire polémique concernant distribution des médicaments.
Il s'git ni plus ni moins que d'ouvrir le capital des Pharmacies et d'ouvreur une brèche dans le monopole des officine.
Même si ce n'est pas une surprise, cette nouvelle attaque contre la profession ne manquera pas de la faire réagir.
Monique Ricomes, la Directrice générale de cet organisme aussi nécessaire que parfois redouté, quitte ses fonctions à la fin du mois de mars, soit deux ans et demi après avoir été nommée.
Ce poste de haut fonctionnaire a été récemment interpellé par Xavier Bertrand, Président de la nouvelle région des Hauts de France, qui lui reprochait notamment une certaine forme d'impuissance en se demandant " s'il était possible de travailler avec l'ARS dans sa région ".
L'ARS est notamment omni-puissante dans la délivrance des autorisations d'exploitation des sites e-commerce pour Pharmacie en ligne, Mais sa mission générale est évidemment extrêmement large et couvre tous les aspects sanitaires d'un territoire.
Un successeur qui n'est pas encore connu à l'heure actuelle devrait être nommé très prochainement.
La mention du nom d’une autre pharmacie sur le site d’une officine pourrait être assimilée à une publicité pour cette pharmacie ce qui est interdit par l’article R5125-29 du Code de la santé publique (CSP).
« Un groupement ou un réseau constitué entre pharmacies ne peut faire de la publicité en faveur des officines qui le constituent.
Aucune publicité ne peut être faite auprès du public pour un groupement ou un réseau constitué entre officines. »
De plus, cette situation pourrait être également identifiée comme de la concurrence déloyale et une atteinte au libre choix de son pharmacien par le patient, puisque le patient est incité à se fournir auprès de certaines autres pharmacies identifiées sur son site, ce qui est contraire aux dispositions de l’article R4235-21 du CSP «Il est interdit aux pharmaciens de porter atteinte au libre choix du pharmacien par la clientèle. Ils doivent s'abstenir de tout acte de concurrence déloyale. »
Source ARS Ile de France (novembre 2018)
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Sus aux " angles morts" qui limitent le pouvoir d'achat et grèvent le budget des ménages !
Le gouvernement, par la voix du premier Ministre Gérard Philippe, tire les leçons de la crise des Gilets Jaunes et réfléchit à de nouvelles mesures qui pourraient bien impacter, avec ou sans leur consentement, les pharmacies françaises.
La levée de certaines contraintes qui pèsent sur la vente en ligne de médicaments semble en bonne voie malgré des réactions mitigées de la profession, de leurs syndicats et des différents acteurs de ce milieu qui n'en demandait pas tant.
Le principe retenu semble bien de libéraliser des secteurs professionnels afin de rendre du pouvoir d'achat aux Français. D'autres secteurs s'y trouvent déjà confrontés : les syndics, les auto-écoles ou les pièces détachées pour l'automobile.
Le 5 mars dernier, le Premier ministre, Édouard Philippe, a annoncé deux mesures qui pourraient bien bouleverser les habitudes bien ancrées des officines.
1) la possibilité de voir apparaître des regroupements de pharmacies, en vue de faciliter la vente en ligne.
2) l'autorisation d'entrepôts déportés pour le stockage et l'expédition de médicaments
Ce sont effectivement deux mesures fortes en faveur des pharmacies en ligne qui subissent de plein fouet la concurrence de sites étrangers (Belges ou Néerlandais) déjà parfaitement structurés et qui se soucient peu des frontières.
L'objectif (inavoué) est de voir se profiler une baisse des prix du médicament non remboursable tout en dynamisant le secteur par une hausse des ventes.
En France, la pharmacie en ligne ne représente que 1 % de parts de marché, contre 15 % en Allemagne », faut-il le rappeler ?
La profession est désormais suspendue à la sortie d'un rapport très attendu de l’Autorité de la concurrence dans les prochaines semaines, rapport sans concession sur le fonctionnement concurrentiel dans le secteur du médicament.
Il est désormais impératif que les Pharmacies françaises prennent en compte l'évolution du comportement d'achat des patients et réfléchissent à la digitalisation des officines, quitte à se regrouper pour faire face aux investissements nécessaires.
Le monopole pharmaceutique ne semblant pas être remis en question malgré le souhait émis par l'autorité de la concurrence, l'effet d'opportunité est clairement à saisir dans le camp des Pharmaciens.
La politique de la chaise vide n'a pour l'instant laissé la place qu'à la création d'acteurs surpuissants (Amazon, Carrefour, Leclerc, Pharmarket, NewPharma...) qui ne feront pas marche arrière et qu'il est encore temps de contrer en occupant le terrain de la proximité, de la confiance et du conseil en utilisant les moyens que permettent la digitalisation des services et de la vente en ligne.
Par exemple, l'enseigne Newpharma basée en Belgique est déjà partie sans complexe à la conquête des marchés français, et suisses avec les extensions «.fr » et «.ch »
Alors chiche, le grand réveil ?